de LOLEH BELLON
Mise en scène : Nalini Menamkat
Décors : Thomas Gremaud
Lumières : Manuel Sigrist
Jeu : Eléonore Junod, Gilles Nobles, Saskia Salzmann
Tour à tour, elles s’attirent puis s’esquivent, c’est un peu une corrida sans honneurs à distribuer. Deux époques qui s’entrechoquent en passant du noir-blanc à la couleur. Une histoire à contretemps où le rythme du jazz s’interrompt pour un geste, pour une virgule. Nous sommes du côté du non-dit, dans la subtilité du mot banal où l’essentiel se trouve sans doute dans les regards réfléchis d’un miroir déformant.